"It's a liberty walk" nous disait une Miley innocente sur 'Liberty Walk', tiré de son dernier album Can't Be Tamed. Si Miley ne pouvait être contrôlée en 2010, qu'en est-il d'elle maintenant?
Elle a lancé le vidéoclip de son hit 'We Can't Stop' mercredi et tout le monde a beaucoup de choses à dire à ce sujet.
Pour bien résumer la chose, disons simplement que le clip est une représentation très graphique et littérale de la chanson. Ce qui ne démontre aucune profondeur, aucun deuxième degré et, en gros, une relativement mauvaise influence pour tous les jeunes qui regardent ça.
Ce n'est pas mon genre de condamner l'exploitation du sexe dans la musique pop, mais là, c'est juste trop. Et c'est gratuit.
Miley lance un party démesuré dans une immense maison de Los Angeles. Jusque là, c'est du très "déjà vu". Bref, le concept est peu original, mais exploité d'une façon complètement outrageuse - en plus!
Le tout prend une tournure assez étrange très rapidement. Miley commence à twerker avec ses amies, elles donne la fessée à une drag queen, quelqu'un fabrique un crâne en frites et Miley embrasse une poupée géante d'elle-même...
Bien sûr, pour couronner le tout, Miley porte des vêtements outrageusement révélateurs et se frotte sur tout le monde qui passe à côté d'elle.
Bref... non. Juste non. Kelly Rowland a, bien sûr, réussi à avoir plus de classe dans le clip de sa chanson plus ouvertement sexuelle 'Kisses Down Low'. Il faut le faire.
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